• C'est fait, après avoir reçu le beau coup de dague dans le dos, le blessé s'est effondré.

    David Martinon jette l'épopnge et n'est plus candidat à la mairie de Neuilly. Il est même allé logiquement jusqu'à présenter sa dém' de porte parole à son patron elyséen qui l'a refusée, ne voulant pas ajouter à la situation une crise supplémentaire.

    Le Président a t il trempé dans l'affaire de Neuilly?  Nul ne le sait encore mais on peut aujourd'hui affirmer que :

    • Soit il a n'a pas soutenu cette opération et cela prouve que malgré ses dires il ne règne plus sur son fief de Neuilly, et que finalement tout le monde est capable de bafouer son autorité.
    • Soit il a soutenu cette opération et son attitude montre qu'il ne veut pas assumer jusqu'au bout ses prises de position en n'éliminant pas définitivement Martinon de son entourage....
    On assume ou pas.

     

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  • La traitrise est elle héréditaire? on pourrait interpeller les grands mandarins de la génétique sur ce sujet. Ils nous répondraient sûrment que non, que l'héritage ne fait pas tout et que le milieu social est pour beaucoup dans l'apprentissage des comportements.

    Bon, prenons acte de ces éléments et considérons donc l'attitude de Jean S comme l'héritage d'un comportement familial. Pendant des années, tout comme le fils de l'artisan observe les gestes sûrs et mille fois répétés de son père devant l'atelier, Jean a su vu son père répété cette figure de haute volée politique : la trahison. Pendant des années, il a vu la finesse avec laquelle on doit rester dans l'ombre de celui pour qui le vent souffle, pour, dès que ce leader est en difficulté, le poignarder et se remettre dans l'ombre d'un nouveau champion.

    Oh certe les conséquence sont parfois funeste, et l'outil de l'artisan même le plus aguéri dérappe parfois. Ce fut le cas quand papa choisit Balladur. Quelle fut longue la remontée des enfers...Jean vit la souffrance de son père et se jura qu'il retiendrait à l'avenir la leçon.

    La leçon est bien retenue! Dès que les vautours commencèrent à tourner autour de la candidature moribonde de David Martinon, le petit Jean éxecuta (c'est le mot!!) la figure de style enseignée par son père et trahit en beauté son ancien champion, pour se remettre dans l'ombre du nouveau...Adressons donc un message de méfiance à celui-ci. Si le vent tourne, trahissez les premiers.


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  • Les mouvements sociaux divisent. Dans le grand public, on est pour ou on est contre, mais aussi dans les entreprises au sein desquelles se déclenchent les mouvements de grève.

    Or pour les non grévistes, il est parfois plus dur d'aller bosser que de faire grève. Il faut l'avoir vécu pour réaliser quelle pression peut recevoir celui qui applique son droit "à ne pas faire grève". celà peut aller de la simple huée au passage du piquet de grève, aux insultes, en passant par la dégradation du véhicule de celui qui est considéré comme un véritable traitre.

     Pis encore, celui qui bosse est bien seul face aux usagers qui expriment leur colère. Il paie de fait le mouvement des autres!!

    Alors passager des trains, en période de grève, par pitié, sois sympa avec celui qui bosse. Compatie m^me si ton train est supprimé. Celui qui est en face de toi se mobilise pour te rendre la vie moins dure.

    Qu'il en soit remercié


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  • Ils y retournent.

    Cette fois le matin du grand soir est arrivé. Tous les syndicats appellent à la grève pour faire la peau, une fois pour toutes, au gouvernement.

    C'est a peu près, quand on les écoute ce que vous diront les délégués de toutes les centrales syndicales. Mais, qu'en est il?

    A la SNCF, il ya 8 organisations syndicales représentatatives du personnel : les 5 "classiques" CGT CFDT CFTC CFE-CGC FO, plus certaines qui ne vivent que dans les grandes administrations : SUD UNSA, plus enfin un syndicat catégoriel des Agents de Conduites, la FGAAC. Si on ajoute à ça le syndicat national des cadres supérieurs(SNCS), on se retrouve avec 9 OS dans le tour de table.

    Or la FGAAC et le SNCS négocient. Donc ne s'inscrivent pas dans le mouvement de grève. La CFTC, la CFDT la CFE-CGC, l'UNSA étudient les propositions de la direction, tout en rejoignant le mouvement de grève du 14 novembre. Enfin SUD et CGT iront au conflit dur de toute façon.

    Sur 9 deux seulement restent fortement mobilisées et actives dans le mouvement.

     Où est la représentativité ??? Nulle part. La parole est confisquée. La libre expression des cheminots entravées!


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