• Surfant sur sa vagues préférée, JM Le PEN nous a servi son complot international visant à l'empêcher d'être candidat. Comme un apéritif, un passage obligé, un appel bien entendu à ses troupes, un mot de passe que tous les présents dans la salle et devant leurs postes ont su décoder et qui disait : votre chef n'est pas mort puisqu'on lui en veut encore !!

     La suite? Oh rien que du très classique : La grande peur. L'ETRANGER qui vient jusque dans nos bras prendre notre travail, mettre en péril notre sécurité, nous prendre notre monnaie, et mettre en péril cette France éternel (qui, notons le, ne serait rien aujourd'hui sans l'apport de l'étranger). Alors aux armes citoyens, votez pour moi! ben voyons.

    Au delà des gesticulations habituelles du leader du FN , qui fera bientôt figure de gauchiste si de Villiers continu à pousser sur la droite de l'extrême droite, son discours est un synthèse d'une tendance de la politique française : celle du recous systématique à l'anxiété, qui prend forcément dans une France vieillissante, menée par des leader vieillissant.

    Discutez avec les anciens, ceux nés entre les deux guerres, qui avaient une 20/30 ans pendant la 2nde guerre mondiale et dans les années 50. La guerre faisait rage , l'OAS perpétraient ses attentats, les activismes faisaient florès. Et ? Et rien ! les gens sortaient, s'aimaient, s'engageaient.

    La classe politique était composée aussi de jeunes gens issus des rang de la résistance, et ressemblait à la France. Quel espoir me donne (j'ai 30 ans) un quasi grabataire d'extr^me droite, un nain UMP qui joue pour lui, une madonne qui élève le statut de mère de famille au rang de qualité politique, un postier gauchiste, un paysan pyrénéen, un altermondialiste séctaire, une retraité de la banque ????? on se croirait parfois sur le plateau de Question pour un champion.

    Mesdames, messieurs : Donnez à espérer plutôt qu'à trembler

     


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  • On oppose souvent gestion d'entreprise et service public... En avançant l'argument - faux - que gérer au plus serré le service public, c'est réduire la teneur de celui-ci.

     Le service public peut être défini comme un ensemble de missions servant le bien de tous et que le marché ne peut assurer.  On inclus par exemple dans ces notions la distribution du courrier sur l'ensemble du territoire ou le transport ferroviaire régional. On voit en effet que transporter le courrier au fin fond des campagnes ne pourrait être assuré à des couts raisonnables - et donc des prix - par une entreprise privée.

    Ainsi, dans ces cas de figure le pouvoir politique, régional ou national, intervient pour financer ces missions à partir de la richesse publique.

    Pour une part de ces missions, c'est une entreprise publique qui est à l'oeuvre. D'ou la confusion fréquente Service public/ Entreprise publique.

     Et quand ces entreprise tentent de se gérer comme de "vraies" entreprises, c'est à dire en mesurant leurs investissements, en rationalisant leur gestion, en optimisant (bouh le vilain mot) ses dépenses, elles sont forcément taxées casser le service public.

    Or, en réalité, en opérant de la sorte, elles tentent d'utiliser au mieux les ressources que leur confie la nation, au titre de leur mission de service public. Serait il normal, que sous prétexte de service public, elles dépensent à tort et à travers ce que les français ont payé de leurs impôts? Non évidemment.

    En fait, ayons les idées claires : quand certains syndicats (pas le mien ouf!!) joue volontairement sur la confusion entreprise publique / service public, c'est encore pour nous jouer l'air de la grande peur, et mobiliser sur des valeurs auquels les français sont attachés : les service public de qualité.

    Mais la qualité, ce n'est pas forcément mettre 10 personnes au guichet quand une seule suffit. C'est, en revanche, faire évoluer les missions des agents des entreprises publiques vers ce que les usagers ont besoin, diversifier les métiers et donc de se mettre au service du public

     

    Réagissez!!


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  • Photo Damien Lafargue

    http://getthepicture.free.fr/Portraits/Bov%E9%20Jos%E9%20-%20Damien%20Lafargue.htm 

     


    Ben oui, il a cédé à son ego surdimenssionné...


    Après avoir affirmé haut et fort que la gauche de la gauche devait se rassembler, José à préféré ajouter à la confusion déjà régnante à gauche en ajoutant sa candidature.


    La lisibilité des propositions? envolée. Le respect des votes des collectifs? piétiné.


    Alors on va a nouveau avoir droit au grand Barnum Bové, avec toute la panoplie de grandes peurs et de boucs émissaires tout trouvés : au choix, les OGM, la multinationale, les coopératives laitières...


    Et finalement, plutôt que nous proposer un programme, dont nous les millitants pourrions débattre et au final approuver, il va nous re servir sont populisme anti parlementaire et un brin  poujadiste.


    Vous avez dit gauche de la gauche? Et bien Mesdames Messieurs, vous aller avoir de la gauche avec les méthodes de la droite : une seule cause à tous vos malheurs, l'OGM ! Une seule réponse : les bouter hors de France!! Je sais pas vous mais ça me fait furieusement penser au programme de quelqu'un...


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